Comment fonctionne la dianétique ?
Pour comprendre le fonctionnement de la dianétique, il convient de comprendre le fonctionnement du mental. La dianétique fonctionne parce qu'elle s'inscrit dans le fonctionnement naturel du mental et arrive par conséquent à l'améliorer !
Comment fonctionne le mental ?
Considérez le mental analytique comme un ordinateur. Ce n'est qu'une analogie, car, le mental analytique –tout en se comportant comme un ordinateur– est encore bien plus capable que toute machine jamais construite et infiniment plus élaborée.
Qu’attendez-vous d’une machine à calculer ? L’action du mental analytique – ou analyseur – est tout ce que l’on pourrait attendre du meilleur ordinateur disponible. Il peut faire et fait tous les exploits d’un ordinateur. Et par-dessus tout, il dirige la construction des ordinateurs. Il est aussi juste qu’aucun ordinateur ne l’a jamais été. Le mental analytique n’est pas seulement un bon ordinateur, c’est un ordinateur parfait. Il ne fait jamais d’erreur. Il ne peut se tromper en aucune façon tant qu’un être humain est raisonnablement intact (à moins que quelque chose n’ait éliminé une partie de son équipement mental).
Le mental analytique est incapable d’erreur, et il est tellement certain d’être incapable d’erreur, que toutes ses activités sont basées sur ce principe. Si une personne dit : «Je ne sais pas compter», cela signifie qu’elle n’a jamais appris à compter ou qu’elle a une aberration sur le calcul. Cela ne signifie pas que son mental analytique est défectueux.
Nous avons ici le composite (formé d’éléments très différents) qui font un être sensé. Il n’y a aucun risque d’erreur au-delà de l’erreur due à des données insuffisantes et à des données erronées mais acceptées (et ces dernières ne seront utilisées qu’une seule fois par l’analyseur si cette unique fois prouve que les données sont fausses). C’est le royaume du plaisir, de l’émotion, de la création et de la construction, et même de la destruction si le calcul de la solution optimale indique que quelque chose doit être détruit.
Où est l'erreur ?
Chacun possède un mental réactif.
Que fait ce mental ? Il coupe le rappel auditif. Il installe des circuits vocaux dans le mental. Il rend les gens sourds. Il les fait bégayer. Il produit tout ce qu’on peut trouver dans n’importe quelle liste de maladies mentales : psychoses, névroses, compulsions, inhibitions.
Que peut-il faire ? Chez l’homme, il peut provoquer de l’arthrite, une bursite, de l’asthme, des allergies, une sinusite, des problèmes de type coronaire, de l’hypertension, et ainsi de suite, dans tout le catalogue des maladies psychosomatiques, en y ajoutant quelques autres, jamais spécifiquement classées comme psychosomatiques, telle que le rhume.
C’est ce mental qui perpétue la menace de la guerre, qui rend la politique irrationnelle, qui fait grogner les officiers supérieurs, qui fait pleurer les enfants dans l’obscurité. C’est le mental qui fait que l’homme refoule ses espoirs, qui maintient ses apathies, qui le rend indécis quand il devrait agir, et qui le tue avant qu’il ait commencé à vivre.
Déchargez la banque réactive d’engrammes et le schizophrène affronte enfin la réalité ; le maniaco-dépressif se met à accomplir des choses ; le névrosé cesse de s’accrocher aux livres qui lui expliquent combien il a besoin de ses névroses et commence à vivre ; la femme cesse de céder à ses enfants.
Comment l'erreur arrive dans le mental ?
Deux choses semblent enregistrées – mais ne le sont pas – dans les magasins standards : l’émotion douloureuse et la douleur physique.
L’action du mental analytique est suspendue en période de douleur intense. En fait, le mental analytique se comporte exactement comme un organe auquel on couperait les vivres en cas de choc.
En fait, l’organisme a résolu le problème. Peut-être que ce problème est très difficile du point de vue biologique, et peut-être que la solution n’est pas très bonne, mais d’importantes dispositions ont été prises pour pallier ces moments où l’organisme est «inconscient».
La réponse au problème de faire réagir l’organisme dans les moments «d’inconscience» ou de «quasi inconscience» est aussi la réponse à la folie et aux maladies psychosomatiques et à toutes les bizarreries mentales auxquelles les gens sont sujets et qui ont donné naissance à la fable «l’erreur est humaine». Des tests cliniques prouvent que ces affirmations sont des faits scientifiques :
1. Le mental enregistre à un certain niveau de façon continue pendant toute la vie de l’organisme.
2. Tous les enregistrements de la vie sont disponibles.
3. «L’inconscience», état dans lequel le mental n’a plus connaissance de son milieu environnant, n’existe que dans la mort, mais jamais comme amnésie totale au cours de l’existence.
4. Tous les dérangements mentaux et physiques d’origine psychique proviennent de moments «d’inconscience».
Une pâle approximation peut être obtenue par l’hypnose, soit avec ses techniques ou drogues habituelles. En installant des «suggestions positives» chez un sujet, on peut le faire agir comme un malade mental. Ce test n’est pas nouveau. Il est bien connu que les compulsions ou les refoulements peuvent être ainsi introduits dans le psychisme. Le Grec ancien le connaissait bien et l’utilisait pour produire divers hallucinations.
Le choc des accidents, les anesthésiques utilisés pour les opérations, la douleur des blessures et les délires de la maladie sont les principales sources de ce que nous appelons «l’inconscience».
Lorsque l’individu se trouve totalement ou partiellement «inconscient», son mental réactif se branche en totalité ou en partie ; quand il est totalement conscient, son mental analytique contrôle parfaitement l’organisme. Quand la conscience diminue, le mental réactif s’introduit d’autant.
La banque réactive ne stocke pas les souvenirs tels que nous les concevons. Elle emmagasine des engrammes*. Ces engrammes sont un enregistrement complet, jusqu’au moindre détail précis, de chaque perception présente au moment «d’inconscience» partielle ou totale. Ils sont aussi précis que n’importe quel autre enregistrement dans le corps. Mais ils possèdent leur propre force. Ce sont comme des disques de phonographe ou des films cinématographiques, si ceux-ci contenaient toutes les perceptions (vue, son, odorat, goût, sensations organiques, etc.).
*L’engramme est un moment «d’inconscience» contenant de la douleur physique ou une émotion pénible ainsi que toutes les perceptions, et que le mental analytique ne peut atteindre et utiliser comme expérience.
Que fait la dianétique ?
L’objectif de la thérapie Dianétique est de produire une libération ou un état de Clair.
Un Libéré est un individu dont le stress et l’anxiété majeurs ont été supprimés par la thérapie Dianétique.
Un Clair est un individu qui, à la suite d’une thérapie Dianétique, ne présente aucune maladie ou aberration psychosomatique active ou potentielle.
Mettre au Clair signifie libérer toute la douleur physique et toutes les émotions pénibles de la vie d’un individu ou – comme dans le cas de la Dianétique politique – d’une société. L’expérience de toute sa vie est disponible au Clair et ses aptitudes mentales et imagination inhérentes sont sous son libre contrôle. Sa vitalité physique et sa santé sont bien meilleures et toutes difficultés psychosomatiques se sont évanouies et ne réapparaîtront pas. Il est plus résistant aux véritables maladies. Il peut s’adapter à son milieu et est capable de le changer. Il n’est pas «conditionné» ; il est dynamique. Ses critères d’éthique et de morale sont élevés, son aptitude à rechercher et à trouver le plaisir est grande. Sa personnalité est épanouie ; il est créatif et constructif. Nous ne savons pas encore de quelle longévité jouit le Clair, mais compte tenu du rééquilibrage automatique du système endocrinien, de la diminution des probabilités d’accident et de l’amélioration du tonus physique général, elle est très certainement accrue.
Un Libéré est un individu chez lequel les difficultés courantes ou chroniques, mentales et physiques ont été libérées. La valeur d’un Libéré comparée à celle d’un Clair, peut ne pas être considérée comme importante à première vue, mais si l’on comprend qu’un Libéré est généralement supérieur à la norme contemporaine en matière de stabilité mentale, on peut voir que cette condition n’est pas à sous-estimer.
À titre de comparaison, disons que le Clair est à la norme contemporaine ce que la norme contemporaine est à l’interné psychiatrique. Le fossé est large et il serait difficile de l’exagérer.
Vous avez le mode d'emploi entre les mains.
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